Each
year, millions of Canadians approach the Department of Communications seeking to
expand and improve their ability to communicate - on the airwaves with the help
of radio or through artistic and cultural expression. Responding to this public
demand, creatively and efficiently, is the responsibility of Rob Gordon, the
Assistant Deputy Minister, Spectrum Management and Regional Operations.
As
manager of both the technically complex radio frequency spectrum and a network of 43 departmental offices across Canada, he is, in fact, the one
responsible for the activities and people
who are the public face of Communications
Canada to Canadians across Canada.
An
Engineering graduate of the University of
Toronto and ADM for four years, Gordon entered public service
in 1965 with the Department of Industry. Moving to Treasury Board, he
worked as a Program Officer before becoming Executive Assistant
to the
Secretary. His subsequent assignments included
Director General of FederalProvincial
Relations for the Department of
Communications; Director General,
Education Support, for the Secretary of State; and Director of Operations, Economic and Regional Development Policy Secretariat, in the Privy Council Office.
Effective
management of the radio spectrum ensures that all Canadians
who wish to benefit from the power of radio
communications can do so with maximum ease and a minimum of interference. It is an effort that is the result of many tasks performed by dedicated staff both in Ottawa
and across the country.
Gordon
compares management of the airwaves by DOC to Transport Canada's task of
managing the airways. Routes, altitudes and navigational procedures must be
specified to ensure safety in the skies. So, too, rules and regulations that
govern radio use are continually developed and revised. Frequencies are
assigned, stations licensed and operators tested, equipment standards are
established and rules enforced - all to maintain that high quality of spectrum
for which Canada is well respected and to prevent the airwaves from becoming a
"Tower of Babel." When interference does occur, whether it is to radio or TV
reception or to a descending aircraft, an investigation is launched and the
issue resolved.
Just how
remarkable this management
effort is can be appreciated when one learns that well over one
million licensed radio stations operate in Canada,
in a virtually interference-free environment, alongside some 2,800 TV and radio stations and millions of appliances that rely on radio waves to open garage doors and make telephone calls.
Gordon
sees his responsibility for maintaining the health and vigor of regional
operations as "one of the great parts of my job." Despite the rigorous schedule
that it involves, he makes a point of visiting not only the five regional
offices on a regular basis but also the many district offices as well. "it is
essential that I hear directly what people in all parts of Canada have to say.
District office staff serve a critical function in their daily contact with
Canadians for whom DOC programs and services are ultimately intended. "
To facilitate this contact,
Gordon, last year, convened a meeting of 29 district managers. "It was a
great success," says Gordon, "an
opportunity for managers from
B.C., for instance, to talk to those
from Newfoundland; to see that they shared
similar problems and that they could
develop new
solutions."
"There
isn't a lot of formality with our people," he remarks. "We foster
the capacity to make difficult decisions
with confidence. People who do that well are extremely valuable to the Department and that, of course, makes my job much easier."
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Chaque année,
des millions de Canadiens
et Canadiennes s'adressent à
Communications Canada dans le but
d'étendre et d'améliorer leur capacité de communiquer, soit au moyen des ondes à l'aide de la radio, soit par l'entremise de l'expression artistique et culturelle. Répondre à cette demande populaire avec imagination et efficacité, c'est la responsabilité de Rob Gordon,
sous-ministre adjoint de la Gestion du spectre et des opérations
régionales.
À titre de gestionnaire à la fois du spectre
techniquement complexe des radiofréquences
et d'un réseau de
43 bureaux du Ministère dans tout le Canada, M. Gordon est en fait le premier
responsable des activités et des
personnes qui assurent, pour l'ensemble
de la population canadienne, la visibilité du Ministère.
Ingénieur diplômé de
l'Université de Toronto et sous-ministre
adjoint depuis quatre ans, Rob Gordon est arrivé dans la Fonction publique en 1965 au ministère de l'industrie. Il est ensuite passé au Conseil du
Trésor, où il a d'abord travaillé à titre d'agent de programmes,
avant de devenir
chef de cabinet du Secrétaire. Il a par la suite occupé les postes
de directeur général des
relations fédérales-provinciales pour
Communications Canada, de directeur
général de l'Aide à l'éducation au Secrétariat d'État, et de directeur des opérations au Secrétariat de la
politique sur le développement économique et régional, au Bureau du
Conseil privé.
La bonne
gestion du spectre radio est nécessaire pour que tous ceux qui désirent
tirer parti de la puissance des moyens de radiocommunications puissent le
faire avec la plus grande facilitée et le minimum de « brouillage ». Il
s'agit d'une initiative vers laquelle convergent de nombreuses tâches
exécutées par du personnel dévoué tant à Ottawa que dans tout le pays. Rob
Gordon compare la gestion des ondes par le Ministère à la tâche de gestion
des routes aériennes par Transports Canada. Il faut déterminer les
itinéraires, les altitudes et les procédures de navigation pour assurer la
sécurité dans le ciel.
II en va de même
pour la réglementation
concernant l'usage de la radio elle est sans
cesse perfectionnée et révisée. Les
fréquences sont attribuées, les stations
acquièrent des licences et les opérateurs
sont testés, les normes d'équipement sont
établies et la réglementation
est appliquée. Tout cela afin de maintenir la
haute qualité du spectre
pour laquelle le Canada est réputé, et pour empêcher que les ondes ne deviennent une « tour de Babel ». Dès qu'il y a du brouillage, que ce soit dans la réception radio ou
télévision ou dans le cas d'un avion
qui s'apprête à atterrir, une
enquête est déclenchée et le problème est résolu.
On peut se rendre
compte à quel point la tâche de gestion est immense quand on sait qu'il
y a plus d'un million
de stations radio titulaires d'une
licence au Canada, dans un milieu où, à toutes fins utiles, le
brouillage est inexistant. De plus, quelque 2 800 stations
de télévision et de radio ainsi que des millions de
dispositifs - dont les ouvre-portes de garage et les appareils téléphoniques - fonctionnent sur ondes radio.
Pour ce qui est de ses responsabilités
dans le bon fonctionnement et la vigueur des
opérations régionales, Rob Gordon estime qu'il
s'agit là de l'une de ses tâches les plus enthousiasmantes.
En dépit de l'horaire rigoureux
qu'il doit s'imposer, il se fait une obligation de se rendre périodiquement non seulement dans les cinq bureaux régionaux, mais aussi dans les nombreux
bureaux de district. « Il est essentiel
que je sache de première main ce
que les gens de toutes les parties du Canada ont à dire. Les employés des bureaux de district jouent un
rôle vital du fait qu'ils sont en contact quotidien avec
les Canadiens et Canadiennes à qui les programmes et services du Ministère sont
finalement destinés. »
Pour faciliter de tels
contacts, Rob Gordon a convoqué l'an dernier
une réunion des 29 gestionnaires de district. « Ce fut un immense
succès » affirme-til.
« L'occasion, par exemple, pour les gestionnaires de la C.-B. de s'entretenir avec ceux de Terre-Neuve, de constater qu'ils partagent des problèmes semblables
et d'imaginer de nouvelles solutions. »
« Il y a très peu de formalités chez nous, fait-il
observer. Nous encourageons
les gens à prendre des décisions difficiles avec
confiance. Ceux qui agissent
ainsi sont très précieux pour le
Ministère, ce qui rend évidemment ma tâche beaucoup plus facile.
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