1985
Twenty-five years ago...
On June 22nd, 1960,
Canada's first space hardware was launched
into orbit.
Aboard the
United States Navy's navigational satellite Transit II A, built at John Hopkins
University's
Applied Physics Labs in Silver Springs, Maryland, was a
Canadian "galactic noise receiver."
This
experimental apparatus, consisting of two antennas and a
receiver, was developed to provide scientific
data on radio noise levels in space. The antennas
were designed to
have a double function; in addition to receiving
radio waves, they took the place of weights
that swung out from the satellite to help control
its spin. The information gathered by the Canadian equipment was
important to the
design of the topside sounder on Canada's firstsatellite,
Alouette
I, sentintoorbit
in 1962.
Measurements of the topside of the earth's ionosphere helped to
find ways of improving long-distance radio wave
communications.
There were other significant benefits of Canada's participation
in the Transit II A operation. Our
researchers gained invaluable
experience in "payload integration" - integrating a
scientific experiment into a satellite, as well as
in planning and executing
launch operations, and in satellite tracking and data acquisition. The project
also set an important precedent for collaborative operations in Canada's space
program.
Several
current DOC employees contributed to this project of the Defence Research Telecommunications
Establishment, predecessor to the Communications Research Centre (CRC):
Colin Franklin, Director General, Application Programs; Bob Hahn and
Gilles
St-Amand of the Space
Electronics Branch; and David Boulding,
Harold
Raine, Fred Daniels and Bob Bibby of the Space Applications
Branch.
|
1985
Vingt-cinq ans
déjà
Le
22
juin
1960,
le
tout
premier dispositif
spatial
du Canada
était sur orbite.
En
effet, un
«
récepteur
de bruit
galactique
»
canadien
se
trouvait
à
bord
du
satellite de navigation Transit
Il
A de la
marine
des États-Unis, fabriqué
dans les laboratoires de
physique
appliquée de
l'Université
John
Hopkins à Silver Springs (Maryland).
Ce prototype formé de deux antennes et d'un récepteur avait été mis au point pour recueillir des données scientifiques sur les niveaux de bruit
radioélectrique dans l'espace. Les antennes jouaient un double rôle, soit celui de capter des ondes et celui de remplacer une charge permettant de freiner la rotation du satellite. Les données saisies à
l'aide du dispositif canadien ont servi à concevoir
le sondeur en contre-haut du premier satellite canadien,
Alouette I, lancé en 1962. Les mesures de
la partie supérieure de l'ionosphère de la terre nous ont aidés à trouver des moyens d'améliorer les
communications hertziennes à grande distance.
D'autres retombées importantes sont attribuables
à la participation du Canada à la mission
Transit Il A. Nos chercheurs ont acquis une expérience inestimable dans le
domaine de l'intégration des charges utiles, c'est-àdire
de l'intégration d'une expérience scientifique
à un engin spatial, ainsi que dans la planification et l'exécution de lancements et dans la poursuite
et l'acquisition de données
par satellite.
Le projet
a
également créé un
important
précédent
au plan
de la
coopération au programme spatial du Canada.
Plusieurs employés actuels du ministère des Communications ont
collaboré au projet Transit II A de l'Établissement de recherche sur les
télécommunications pour la défense, précurseur du Centre
de recherches sur les
communications
(CRC).
Il s'agit de Colin Franklin,
directeur général des Programmes d'applications, Bob Hahn
et Gilles St-Amand de la Direction de l'électronique spatiale, et David Boulding,
Harold
Raine,
Fred
Daniels et Bob Bibby de la Direction des applications spatiales.
|